jeudi 31 juillet 2008
lundi 28 juillet 2008
ATELIER DE RAYOGRAPHIE--25/07/08
Atelier de Rayographie : Cinéma à développer
Module Laboratoire : création d’abstraction
>> Courir chercher des objets champêtres (brins d’herbe, insectes, plumes, cailloux...) et les déposer sur une bande filmique 16mm // Foundfoutage mix 8 et 16mm
>> Impressionner la bande de lumière
>> Développement du négatif dans un laboratoire artisanale 16mm
>> Séchage
>> Projection 16mm + numérisation
>> Mise en musique improvisée en direct
jeudi 24 juillet 2008
mercredi 23 juillet 2008
lundi 21 juillet 2008
ATELIER DE CINEMA SANS CAMERA--21/07/08
, de pailles de fer, de feutres à encre. Les 52 enfants venus de Draps, Nice et Cagnes-sur-mer ont créé ce bout à bout d'abstraction à même la pellicule...
Pour lire la vidéo cliquez sur le lien suivant :
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vendredi 18 juillet 2008
ATELIER DE CINEMA SANS CAMERA--18/07/08
Au menu du jour :
Grattage sur la longueur, grattage image par image, effaceur, tampon, perforation, déstructuration de la pellicule.
Grattage sur la longueur, grattage image par image, effaceur, tampon, perforation, déstructuration de la pellicule.
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mardi 15 juillet 2008
ATELIER DE CINEMA SANS CAMERA--11/07/08
Les jeunes apprentis à l'ouvrage....
>> Peinture / grattage /dessin directement sur pellicule 35mm
>> Mise bout à bout du travail des enfants
>> Projection 35mm + numérisation
>> Mise en musique improvisée en direct
>> Mise bout à bout du travail des enfants
>> Projection 35mm + numérisation
>> Mise en musique improvisée en direct
vendredi 11 juillet 2008
jeudi 10 juillet 2008
ATELIER DE PIXILATION--10/07/08
La citation du jour
La réalisation des enfants
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>> Mettre en mouvement les corps dans l’espace avec un chorégraphe
>> Captation
>> Projection du travail des participants
>> Mise en bruit par la production du mercredi
>> Captation
>> Projection du travail des participants
>> Mise en bruit par la production du mercredi
mercredi 9 juillet 2008
ATELIER DE CREATION SONORE--09/07/08
Le Nano-Orchestre Bruitiste
"Le bruit, jaillissant confus et irrégulier (...) ne se révèle jamais entièrement à nous et nous réserve d'innombrables surprises."
Luigi Russolo
(L'art des Bruits, Manifeste futuriste, 1913)
Luigi Russolo
(L'art des Bruits, Manifeste futuriste, 1913)
dimanche 6 juillet 2008
Pour Fernand Léger, l'art doit sortir des limites du chevalet, utiliser les techniques et les supports les plus divers, et ainsi se mêler à la vie. Passionné de spectacles, il collabore tout au long de sa carrière avec des metteurs en scène de théâtre, des cinéastes, des chorégraphes, des compositeurs...
Entre 1921 et 1950, il participe à une dizaine de créations ; il conçoit des décors et des costumes pour la scène (ballet, cirque, opéra) et le cinéma ; il réalise Le Ballet Mécanique et s'associe aux expériences cinématographiques de l'ancien dadaïste Hans Richter. Il imagine une chorégraphie mécanique ; il rêve de voir le
décor devenir mobile et l'intérêt du spectacle se reporter sur la scène au lieu de se concentrer sur les seul danseurs. Il aspire à faire disparaître le " bonhomme" et agir les objets, à traiter l'homme comme matériau à la disposition du créateur, au même titre que la lumière ou les couleurs. En ce sens, ses interventions dans le monde des spectacles sont aussi avant-gardistes que sa peinture.
« La fascination qu’exerçait la forme cinématographique sur Fernand Léger ne tarda pas à provoquer des rencontres et des associations : Abel Gance, Marcel L’herbier, René Clair, Hans
Richter…et à influencer sa peinture de manière décisive. Peut-être le premier peintre moderne à inscrire dans la composition de ses tableaux la profondeur de champ, le gros plan, les rythmes de
façon aussi manifestement « cinématographique », son intérêt grandissant pour l’image mouvement, le décida à réaliser en 1924, une œuvre phare de l’avant-garde, Le Ballet Mécanique. L’œuvre de Fernand Léger accompagne à la fois l’histoire du cinéma dans
sa période la plus inventive et témoigne des transformations sociales les plus importantes de son siècle. Peinture et cinéma se rejoignent pour former une splendide unité.» Kaloust Andalian
L’opération, « Les Portes du temps», lancée en 2005 par le ministère de la culture et de la communication, offre l’occasion de renforcer les liens entre les structures d’accueil du jeune public, les réseaux d’éducation populaire et les sites patrimoniaux.
Le musée national Fernand Léger s’inscrit dans cette opération pour proposer une approche du cinéma et inviter les adolescents à se familiariser avec le 7ème art et se créer des repères.
Entre 1921 et 1950, il participe à une dizaine de créations ; il conçoit des décors et des costumes pour la scène (ballet, cirque, opéra) et le cinéma ; il réalise Le Ballet Mécanique et s'associe aux expériences cinématographiques de l'ancien dadaïste Hans Richter. Il imagine une chorégraphie mécanique ; il rêve de voir le
décor devenir mobile et l'intérêt du spectacle se reporter sur la scène au lieu de se concentrer sur les seul danseurs. Il aspire à faire disparaître le " bonhomme" et agir les objets, à traiter l'homme comme matériau à la disposition du créateur, au même titre que la lumière ou les couleurs. En ce sens, ses interventions dans le monde des spectacles sont aussi avant-gardistes que sa peinture.
« La fascination qu’exerçait la forme cinématographique sur Fernand Léger ne tarda pas à provoquer des rencontres et des associations : Abel Gance, Marcel L’herbier, René Clair, Hans
Richter…et à influencer sa peinture de manière décisive. Peut-être le premier peintre moderne à inscrire dans la composition de ses tableaux la profondeur de champ, le gros plan, les rythmes de
façon aussi manifestement « cinématographique », son intérêt grandissant pour l’image mouvement, le décida à réaliser en 1924, une œuvre phare de l’avant-garde, Le Ballet Mécanique. L’œuvre de Fernand Léger accompagne à la fois l’histoire du cinéma dans
sa période la plus inventive et témoigne des transformations sociales les plus importantes de son siècle. Peinture et cinéma se rejoignent pour former une splendide unité.» Kaloust Andalian
L’opération, « Les Portes du temps», lancée en 2005 par le ministère de la culture et de la communication, offre l’occasion de renforcer les liens entre les structures d’accueil du jeune public, les réseaux d’éducation populaire et les sites patrimoniaux.
Le musée national Fernand Léger s’inscrit dans cette opération pour proposer une approche du cinéma et inviter les adolescents à se familiariser avec le 7ème art et se créer des repères.
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